CHAPITRE 1
Aujourd’hui, c’est la rentrée pour moi. En réalité, c’est la moitié du premier trimestre. J’entre dans la prestigieuse école privée de Vancouver. Mes parents on payé une sacrée fortune pour me mettre dans cette école. Pourquoi ont-il mis autant d’argent ? Pour me remettre dans le droit chemin. J’ai oublié de me présenter. Moi, c’est Lily, la Lily De Perffey. Fille du grand chef d’entreprise, Aymeryk De Perffey et de la fameuse styliste, Karmen De Perffey. Vous l’aurai compris, je suis issu de très bonne famille.
Mon réveil sonna. Je n’avais pas tellement envie d’aller dans cette école. Je tapai sur le réveil pour l’éteindre. Je soupirai et je me remis sous ma couette. Je refermai les yeux quand ma mère vint frapper à ma porte :
-Lily, lève toi c’est l’heure
-Hum
-Je suis sure que tu ne voudrais rater sous aucun prétexte ce grand jour !
Oh, bien sur que oui, j’aimerai le rater. Elle retourna au salon. Je me demander comment aller être cette école. Grande et très réputer je suppose. Je devais y être pour 9h00 tapante. La directrice faisait un grand discours. Je sorti difficilement de mon lit. J’allai dans mon dressing. Oui, une pièce rien que pour mes vêtements et mes chaussures. Oh et s’il vous plait, je ne veux pas écouter de « fille a papa » ou « petite fille gâtée », j’ai horreur de sa. Je pris donc un jean foncé et un débardeur blanc. Quand aux chaussures, une paire de petite basket fera sûrement l’affaire. Je filai sous la douche avant de m’habiller. Je descendis prendre le petit déjeuner. Je m’asseya a ma place. Marguarette, notre domestique, m’apporta mon chocolat au lait, et quelques croissant. Je commençai à manger quand ma mère pris la parole :
-Un yaourt allégé et des fruits seraient plus appropriés
-Maman…
-Lily, le chocolat et les croissant ne sont pas bons pour la ligne
-Mais j’ai perdu…
-Pas de mais « m’interrompis t-elle »
-Bien
Je poussai mon chocolat et mes croissant. Elle m’énervé quand elle faisait sa. Et oui, ma mère était obsédée par les apparences. J’étais sa seule fille, sa seule enfant, et je ne devais pas décevoir la famille De Perffey. Marguarette m’apporta un yaourt allégé avec une clémentine et des raisins. Je commencé a mangé dégoûtée. J’aurai préférer mon chocolat. Ma mère repris la parole a nouveau :
-Lily, je dois partir au Japon pour deux trois mois, pour un défilé.
-Géniale « dit-je en soupirant »
-Oui, tu seras donc toute seule avec Marguarette.
-Pour changer « soufflais-je »
Mes parents étaient un coup de vent dans cette grande villa. Mais heureusement que Marguarette était la. Elle était presque comme ma mère. Je regardai l’heure. J’allai être en retard. Je fini en vitesse mon déjeuner, et je souri a ma mère :
-J’y vais, je vais être en retard… J’y vais à pieds...
-En limousine « m’interronpi-t-elle »
-Bien »soupirai-je »
Je pris mon sac en traînant des pieds. Voila, tout le monde aller voir que j’étais riche. Oui, pour moi être riche est un fardeau. Je vis deux croissants dépasser de mon sac. Marguarette me souri. Elle était vraiment incroyable. Je le refermai en vitesse avant que ma mère ne les voie. Je sorti de la maison et je monta dans la limousine. Je regardai le paysage quand la porte s’ouvrit. On était déjà arriver. Elle était vraiment très grande. Il y avait un grand portail noir. Au bout des grilles, il y avait des petites boules en or. Je sorti de la limousine et passa le portail. Il y avait a droite, une grande cour avec des banc blanc qui en faisait le tour. A gauche, il y avait un terrain de basket. En face de moi, il y avait une trentaine de marche blanche. Je commençai à les monter. Je me retrouvai devant une grande porte marron. Je poussai la poignée en or. C’était vraiment immense à l’intérieur. C’était un grand hall avec des pylônes en marbre blanc. Le sol était en carrelage blanc, également. Il y avait quelques plantes vertes placer a chaque coin. En face et a gauche, il y avait des couloirs qui menait à plusieurs portes. A droite, il y avait une pièce avec une sorte de parloir. Le secrétariat je suppose. Je m’approcha quand la jeune femme eu un grand sourire :
-Mlle De Perffey !
-Vous connaissez mon nom ?
-Nous n’avons pas souvent de nouvelle et avec un tel nom en plus…
-Oui, heu…ou est le discours de la directrice ?
-Je vais vous y emmener.
Elle sorti de son bureau et mis ses lunettes sur son nez. Elle était assez grande. Elle était habillée d’un tailleur noir, avec les talons assorti. Elle était blonde, avec les cheveux relevé, et frisé. On entendait dans les couloirs ses talons sur le marbre. Elle m’emmena dans une grande salle appelée « salle principale ». J’entra dans la grande pièce. Tous les regards étaient rivés vers moi. Je n’aimer pas sa du tout. La directrice me regarda à son tour. Je la vis avec un grand sourire. Attendez t-ils tous mon arriver ? En tout cas, je ne passer inaperçu. La secrétaire me regarda avant de me dire :
-Installer vous, Mlle de Perffey, je viendrai à la fin du discours avec votre parrain ou votre marraine.
-Je suis parrainée ?
-Oui, cela vous permettra de mieux vous intégrer.
-D’accord, a tout a l’heure alors.
Je descendis les marches avant de repérer un siège. Je passa devant quelque personne et je m’asseya. J’écoutai le discours de la directrice d’une seule oreille. Cela m’ennuyai plutôt. La directrice avait l’air d’être fière de son discours. Celui-ci fut interrompu par une sonnerie de portable. Elle me sorti de mes pensées. Je levai la tête et je vis les regards tournés vers moi. Je me levai gênée :
-Oh…excuser moi, je l’éteins de suite
Je fis bien sur semblant se l’éteindre. Je me demandai de qui sa venait. Je regardai mon portable. C’était ma mère. Discours habituel. Fait attention a toi bla, bla, bla. Je mis mon portable sur silencieux, et je le rangeai dans ma poche. La directrice conclus son discours. Je me levai pour sortir de la salle quand quelqu’un me tapa l’épaule :
-Salut, tu doit être Lily, c’est sa ?
-Heu…oui.
-Enchantée, moi c’est Alyson mais appelle moi Aly.
-Heu ok…
-C’est moi ou tu es gênée ?
-J’aime pas trop la foule.
-Je crois que tu vas devoir t’y habituer !
-On dirait oui.
Aly était plutôt jolie. Brune, elle était assez grande. Elle avait de beaux yeux marron. Elle était fine comme un top model. Elle afficher un grand sourire. J’essayai de chercher la secrétaire du regard. Les filles surexcitées comme Aly me ficher la frousse. Pas que je l’aimer pas, non au contraire, elle avait l’aire sympa. Je vis une main s’agiter. Je reconnue la secrétaire. Elle aussi était assez surexcitée. Je regardai Aly :
-Heu désoler, je doit y aller
-On se rejoints plus tard ?
-Heu ouais, a plus tard.
J’étais vraiment insociable et assez froide. La secrétaire me sauta presque dessus. Elle était accompagnée de deux gars. Génial, elle aurai pu me trouver des filles. Non, je n’avais pas peur des gars. Mais disons que mes expériences avec eux, n’étaient pas un très bon souvenir. L’un d’eux, était assez grand et un peu musclé. Il était brun et il avait de magnifiques yeux dorés. Je ne savais même pas que cette couleur exister. Il avait les cheveux ébouriffés. Il se sentait un peu mal alaise. L’autre était aussi brun. Il avait les cheveux mi-long et assez ondulé. Il avait un étui de guitare sur le dos. Il avait lui, de beaux yeux bleus. La secrétaire s’approcha de moi :
-Lily, voici tes deux parrains…
-Je ne veux pas « interrompit le premier gars »
-Mais tu étais pourtant bien emballer, d’être le parrain de Lily
-Plus maintenant, je peux y aller ?
-Heu…oui
Le gars me lança un regard. Je le fixai. Ses yeux étaient devenus noirs. Je secouai la tête. Je devais halluciner. La secrétaire et le gars étaient aussi surpris que moi. Je me demander ce qui clocher chez moi. Il voulait et maintenant qu’il m’avait vu, il ne voulait plus. Il s’attendait peut être a une super top model. Mais pourtant, je n’étais pas si moche. Du haut de mes 1m70, j’étais plutôt fine. J’avais une petite touffe assez longue et ondulée brune a la place de mes cheveux. Je pris une petite mèche de mes cheveux et je la senti. Ben non, je sentais bon. Je ne comprenais pas la réaction de ce garçon. La secrétaire, toute chamboulée essaya de reprendre ses esprits et me présenta le jeune homme :
-Lily, voici William, ton parrain.
-Enchanté « dit-il avec un grand sourire »
-De même
La secrétaire voyait qu’une ambiance lourde pesait au dessus de nos têtes. Elle se sentait très mal alaise. Elle fit un sourire forcé :
-Je vous laisse faire connaissance…Lily, si tu as un problème tu sais ou me trouver.
-Merçi beaucoup.
Elle parti en faisant claquer ses talons a toute vitesse sur le sol. William se retourna vers moi en souriant :
-Salut, moi c’est William. Je vais me présenter vite fait. J’ai 18 ans, et j’aime la musique. Je suis en deuxième année. Si je suis venu dans cette école, c’est pour réussir à entrer dans une des plus grandes écoles de musique à Paris, et toi ?
-Heu…ben moi c’est Lily, j’ai 17 ans et heu…j’aime…être seule.
-Ah…bien et pourquoi est-tu ici ? « Dit-il gêner par mes paroles »
-C’est mes parents qui ont décider, je n’ai pas eu le choix.
Non mais il n’allait tout de même pas croire que j’allai lui dire la vraie raison. Il regarda autour de lui avant de me dire :
-Je vais te montrer ta chambre.
-Quoi ? Ma chambre ?!? A non, il doit y avoir un mal entendu !
-Heu non, je ne pense pas, nous sommes tous pensionnaire ici.
-Quoi, attend deux seconde.
J’attrapa mon portable énervée et sous le choc. Comme avez t-elle pu me caché sa. Je composai le numéro de ma mère. J’étais très nerveuse quand elle décrocha :
-Oui Lily ?
-Comment tu as pu me mentir ?
-Oh, je t’en pris ne te met pas dans des états pareil !
-Maman, j’étais d’accord de venir dans cette école pour oublier la….pour oublier tu sais quoi, mais être dans un internat, c’est trop me demander.
-Ecoute Lily, c’est trop tard, tes affaires son déjà dans une chambre, et puis ne discute pas !
Elle avait raccroché. Argg, elle m’énervé. Mais comme d’habitude, je ne pouvais rien dire. Je me retournai vers William :
-C’est parti pour la chambre
-Ok, je t’y emmène.
Génial, la journée commencée super bien ! William m’emmena vers les dortoirs. Au passage, il disait bonjour aux personnes qu’il connaissait. Les gens me regarder étrangement. Bon ben oui, j’étais nouvelle mais sa ne faisait pas de moi un martien. Il s’arrêta parler avec un gars qu’il connaissait. Il me demanda gentiment :
-Lily, tu peux t’éloigner un peu, enfin…je doit parler a mon meilleur ami en…
-En privé « le coupai-je », j’avais compris.
Je m’éloignai un peu et je m’assis sur un banc. Ils n’étaient pas tellement discrets. Je faisais genre d’écouter de la musique et je coupai le son pour les entendre parler. Oui, je sais, la curiosité est un vilain défaut, mais je ne peux pas m’en empêcher. Je tendis l’oreille :
-Alors, tu es le parrain de la jolie De Perffey ?
-Ouais, t’a vu sa, la classe !
-Je croyais que Butter devait être avec toi ?
-Il a refusé au dernier moment. Il est vraiment trop chelou ce gars.
-Ouais…pauvre Lily, elle a du avoir la frousse !
Je secouai la tête. Non mais n’importe quoi, je n’avais pas eu peur. Il me prenait pour qui lui. Une petite fille pourrie gâtée qui avait peur de tout ? Je me raclai la gorge. William fit un signe à son meilleur ami puis il revint vers moi :
-On y va ?
-Heu…oui, si tu as fini
-Oui, allons-y Lily
Nous traversâmes une cours pour arriver devant un grand bâtiment. Nous avançâmes devant la porte. William me regarda :
-Bon, tu es à la chambre 1266, normalement, tu es seule, mais tu peux avoir une ou un colocataire.
-Un ?
-Oui, ici, les chambres sont mixte.
-Super « soufflai-je »
Des chambres mixtes, il ne manquer plus que sa ! Déjà que j’avais du mal a parler avec les filles de mon âge, alors avec des gars…
Nous arrivâmes au rez de chausser. Il y avait un ascenseur avec des grilles. William les poussa et il me laissa passer. Je lui fis un merçi de la main, et je montai dans l’ascenseur. Il monta à son tour, et il m’expliqua les boutons de l’ascenseur :
-Ce bouton avec la télé, c’est le foyer, tu pourras y regarder la télé, et jouer a des jeux. La tu ne rêves pas, c’est bien un piscine, elle est sur le toit. Tu la trouveras avec un jacuzzi. Là, la raquette, c’est pour le terrain de tennis qui est au sous sol. Voila, je n’est rien oublier.
-Et bien, il y a beaucoup d’activité, et les douches ?
-Dans chaque chambre, il y a une salle de bain avec une douche et un toilette.
-Bien.
William appuya sur le bouton 1000. L’ascenseur décolla, et nous montâmes les étages. Arriver, l’ascenseur s’ouvra. Il y avait un grand couloir. Ce couloir menait aux chambres. Il y avait quelques fauteuils avec des tables avec des livres. Nous traversâmes le couloir. Arriver devant la chambre 1266, nous entendîmes des rire. Je regarda William :
-Je ne devais pas être seule ?
-Si, si, rentrons, il doit y avoir une erreur
Nous entrâmes dans la chambre. Elle était grande. Il y avait deux lits, deux armoires, et un meuble télé. Le sol était en lineau blanc et le papier était violet. Génial, j’adorai le violet. Je n’avais pas encore fait attention a ceux qui rigoler. William, lui, y avait fait attention :
-Tiens, les Butter, qu’est-ce que vous faite la ?
-Nous avons des prénoms Smettan !
-Bon, Maël, Karen et Colin, qu’est-ce que vous faite la ?
-Je suis dans ma chambre…
-Ta chambre qui est aussi celle de Lily
-Que…quoi ? « dis-je en sortant de mes pensées »
-Lily, je suis désoler, je penser vraiment que tu était seule dans la chambre « me dit William,super géné par la situation »
-Ce n’est pas grave William.
-Si tu as le moindre problème, tu m’appelle « me dit-il en me tendant son numéro »
William sorti de la chambre, suivi de la fille et d’un gars. Je souria embéter au gars qui resté :
-Heu…toi c‘est Mael ou Colin ?
-Maël « grogna-t-il »
-Enchantée « dit-je en lui tendant la main »
-Pas moi !
Il parti d’un coup énerver. Je ne savait pas ce que je lui avait fait. Il alla s’enfermer dans la salle de bain. Je m’asseya sur le lit ou il y avait une house de couette violette. C’était la mienne. Je l’entendait qui s’énerver tout seul. Je m’allongea sur mon lit. Géniale, quelle début de journée…
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C'est la première fois que j'écris donc voilà
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