Un peu de repos pour une fille... [libre]

J'entrais dans le dortoir et installa mon sac près du lit. Kon s'agitait comme d'habitude...
Il était sur l'appuie de fenêtre et gesticulait en criant..

"Mes lolos adorés! Enf..."

Non, il savait très bien qu'il allait l'avoir ce coup de poing. Un simple petit geste un pif, Kon l'avait dans la tête. Je ne disais rien car sinon, il allait me faire une crise cardiaque...
Il était plus ou moins 20heures. Et j'étais un peu fatiguée, mais pas trop.
Je me mis en pyjama ou plutôt, robe de nuit, une belle robe en soie et luisante.
Kon s'agitait encore plus, ça ne m'étonnais pas.

"Bon, tu la ferme Kon? Ou sinon tu préfère passer la nuit en pilule?"

"Nooon! Pitié! Je ne bougerais plus! Je fais la peluche!"

Je souriais et mis mon katana en dessous de mon lit, au cas où.
Je savait que je n'étais pas seule dans ce dortoir, une fille et un garçon je crois?
Je n'en savais rien, du coup, je m'assis sur mon lit et regarda par la fenêtre.
Je pensa tout d'un coup à Gin, avec son sourire qui me faisait repenser à de bons souvenirs... Gin, ce sourire, ces cheveux gris bleus, et ces yeux fermés, oui, c'était bien de ce Gin là que je pensais. Je l'ai toujours aimé. J'aurais tant aimé le voir, même lui adresser la parole ou entendre ça voix...

"Ha... Gin..."

"Hein? C'est quoi ça un Gin? Une nouvelle marque de boisson? J'en veux ! J'en veux!"

Sa y est... Kon m'avait mise en rage et je le pris pour le jeter sur le mur.

"Ta gueule la peluche!"

Invité

Une montagne de muscle monstrueuse, éclairée par une légère aura rouge et sanglante qui l'entourait, c'est ce qu'on pouvait à peine distingué dans cette nuit qui était vite tomber. Cette silhouette dissuadait quiconque de sortir, forçait même les plus courageux à ne pas s'aventurer dehors. Ce n'était pas un surveillant mais juste un professeur qui faisait une petite crise nocturne comme il le faisait certaine fois, un besoin présent de ressentir un pouvoir absolu dans ses veines, c'est ce qu'il lui arrivait de sentir et alors, tel un monstre de légende urbaine, il se laissait aller lorsque le soleil n'était plus là pour l'observer. Il n'avait pas vraiment une apparence de monstre mais sa musculature était simplement exagérée, rappelant celle de certains mangas où les gens passaient leurs temps à se combattre en détruisant des rochers autour d'eux. C'était le genre de force où on n'avait qu'un seul choix : esquiver ou mourir, tenter d'encaisser ou juste de parer le coup n'était pas une chose raisonnable pour un humain qu'on pouvait considérer de normal même si certains maitres du Rakan Niôken parvenait à défaire facilement le monstre de force brute qu'était Foly.

Mais ce dernier était plus facilement contenu lorsqu'il avait l'âme en paix, ce qui était le cas. C'était déjà la fin de sa balade. Lorsqu'il était serein, une heure à peine lui suffisait pour satisfaire ce besoin malsain de puissance. Et maintenant, l'aura qui l'entourait disparaissait doucement pour former un animal auprès d'un humain qui avait retrouvé une apparence qu'on pouvait qualifié de normal. Celui-ci soupira, laissant un large sourire envahir son visage, un sourire que nul n'avait l'habitude de voire sur le visage de celui qui paraissait toujours froid. Son regard avait récupéré des couleurs sombres et il s'était posé sur une fenêtre où la lumière était encore allumée.

La louve qui était allongée dans un coin défia du regard Foly de monter en haut du bâtiment sans son pouvoir, comme pour lui rappelait qu'il devait être calme, qu'elle était le maitre à bord et qu'il n'avait aucune raison d'être fier après avoir cédé à ces envies, allant à l'encontre de ses principes de Maitre de son art. Et même si Foly n'avait plus sa force, il accepta le défi avec orgueil et commença à escalader le mur, faisant des bonds, montrant une souplesse et une force qui restait malgré tout exceptionnel pour un être humain. Et il se retrouva en un instant au niveau du premier étage, jetant un coup d'oeil et voyant une peluche en train de voler.

Il crut alors que c'était un pensionnaire qui avait la capacité de se transformer -il n'avait pas totalement tord- et il toqua à la vitre avec un air légèrement énervé, prêt à faire son boulot de professeur et apprendre les bonnes manières à une élève qui agressait un autre, du moins, c'est ce qu'il croyait.

Foly - "Il n'est pas permit de violenter les autres élèves, mademoiselle!"

Sa voix n'était pas très forte à cause de la fenêtre qui freinait sa voix mais ses mots étaient totalement compréhensibles. Il le savait après avoir entendu Matsumoto en train de gueuler sur Kon en l'insultant de peluche.

Soudainement, quand j'étais en train d'engueuler Kon, je perçus un son et une voix...

"Il n'est pas permit de violenter les autres élèves, mademoiselle!"

Je me leva, et alla ouvrir la fenêtre, il fallait au moins rester polie envers les autres gens...

"Oh, il n'est pas un élève, mais un compagnon, comme pour un animal de compagnie si vous voulez. Je peux le faire changer de corps grâce à la pilule qui l'anime. C'est juste que... Ben c'est un gros pervers qui aime se jeter sur les poitrines des filles voyez-vous."

Je souris et pris Kon, je mis ma main dans sa bouche pour chercher la pilule et la montra à l'homme qui était à la fenêtre.

"Voilà, c'est ce petit truc Kon... Et ne restez pas là, entrez donc! Par pitié, ne faites pas attention à lui, ou bien s'il vous ennuie, n'hésitez pas à frapper, tout les coups sont permis!"

Je remis la pilule dans la peluche, celle-ci s'anima et hurla dans tout les sens...

"Méchante Rangiku! T'es cruelle avec moi! Et c'est qui l'guignol qu'est là à nous raviser hein?! DEGAGE! C'est no'te piaule ici!"

Je regardais Kon qui s'agitait en gueulant sur le pauvre homme qui était rentré.
Je regarda l'homme et lui dis...

"Excusez-le... Et puis, quel est votre nom? Moi c'est Rangiku. Matsumoto Rangiku."

Kon s'agitait encore dans tous les sens avant de s'arrêter, de nous regarder et de dire...

"Oh! Les deux gugusses là! Ouais vous deux! Regardez ici! Vous m'écoutez à la fin bordel?!"

Je ne faisais pas attention à Kon et attendais plutôt la réponse du jeune homme.

Invité

Elle arriva fort vite pour expliquer la situation et effectivement, le professeur s'était trompé mais le prenait assez bien, se renseignant ainsi sur la population du lycée. Il fut intrigué par cette petite pilule et se retenu de parler de drogue en voyant tout cela, ce n'était surement pas du tout la même chose. Elle continua à parler à propos de son compagnon, et il comprit fort vite qu'elle avait des raisons de le frapper. Elle parlait de compagnon comme de quelqu'un à frapper, Foly, lui, jeta un coup d'œil vers l'arrière pour apercevoir rapidement sa louve et il riait à l'intérieur de lui en s'imaginant la violenter mais en attendant, il eut une autre idée, une vengeance. Il entra donc dans la chambre, fermant la fenêtre derrière lui en faisant signe de la main que c'était pour éviter les coups de vent alors que c'était juste pour énerver Sniezka - la louve démoniaque - qui était du genre à être très jalouse. Quant au professeur, il essaya tant bien de mal de comprendre Rangiku qui disait de le frapper si Kon l'embêtait mais il devait tout de même l'ignorer. Il haussa légèrement les épaules, se disant qu'il allait pouvoir faire comme il le désirait en faites, c'était ça la morale de l'histoire.

C'était dur de ne pas avoir envie de le frapper, il s'agitait dans tout les sens dès le début. A vrai dire, le professeur ne pouvait rien dire, il ne savait pas ce qu'il avait supporter avant d'arriver, il le savait juste mal traiter mais à l'intérieur de lui, il voulait le frapper de toutes ses forces, en plus d'être un pervers, il était d'une impolitesse remarquable. Il lui ordonna de quitter les lieux et Foly resta froid face à la demande, le règlement lui permettait de rentrer s'il considérait que c'était nécessaire, du moment qu'il restait dans la limite du légal.

Foly attendu un peu pour voire s'il se calmait, abordant la situation avec une certaine objectivité et restant neutre, ne s'énervant et tournant la tête vers la demoiselle qui se présenta après avoir présenté cette étrange peluche. Le professeur eut un léger sourire sans réel sentiment, plutôt une sorte de politesse et planta son index et son majeur dans le coussin qui servait de ventre à Kon, le faisant quitter les mains de la demoiselle sans le déchirer pour autant. Il fut comme suspendu dans les airs pendant quelques instants, se prenant une pichenette sur la truffe qui lui fit un peu monter en altitude, un coup entre les deux yeux avaient été donner simultanément, un point vital, mais certainement pas mortel pour une peluche qui n'avait pas vraiment d'organisme.

Foly - "Maitre du Rakan Niôken..."

Il donna un coup avec le tranchant de sa main, de haut en bas, claquant la peluche au sol et se mettant au dessus d'elle dans une position de supériorité, sa longue veste noire en cuir créant une ombre qui ne faisait que ressortir davantage les bandages blancs qui recouvraient son torse comme simple habit. Il avait un regard froid, menaçant, et il continua sa présentation en redressant son visage vers Matsumoto, un air blasé au visage.

Foly - "Professeur d'éducation physique. Appelez moi Foly, enchanté."

L'homme était assez étrange, il fit un signe dehors, je compris alors qu'il y avait quelqu'un. Puis, il entra et resta d'un calme absolu. Ensuite, il fit "voler" Kon dans les airs et lui fit une pichenette sur le nez, à mon avis, il n'appréciait pas sa façon d'agir, et il avait raison! Non mais c'est vrai quoi! Tu rentre tranquillement, et tu t'fais déjà traiter par une vulgaire petite peluche de rien du tout!

"Hé bien, j'aime votre façon d'agir, au moins, enfin, j'espère qu'il aura compris la leçon, hein Kon?"

"AAAH!!! ENCORE UN MÉCHANT!! Pourquoi tout le monde est si méchant avec moi! Non mais c'est vrai quoi! J'ai rien fais! Et toi l'autre là! Je veux desc..."

à ce moment précis, même avant qu'il eu fini sa phrase il fut claqué au sol. Je souris.
Il se redressa, il était bien entendu plus haut que moi. Il était assez beau goss...
Des cheveux foncé, un regard simple, assez musclé, des bandages qui recouvraient le torse et une longue veste noire.

"Professeur d'éducation physique. Appelez moi Foly, enchanté."

Ce professeur, je l'aimais bien, plutôt sympa, cherche pas les noises, au moins, il y va franchement quand il n'apprécie pas quelque chose, je me leva et le regarda en souriant. Je lui dis d'un simple...

"Enchantée aussi."

Je regardais Kon qui arrivait encore à se relever, il s'avança vers moi, mais je lui donna un coup de pied, celui-ci arriva directement dans l'armoire.

"Yaaah! Méchante Rangiku! T'es trop cruelle!"

je le regarda, soupira et lui dit.

"Pff, mais non, dans deux secondes tu ira mieux! Râle pas!"

C'est vrai que même s'il était blessé, il s'en foutait et sautait sur les filles à grosses poitrines.. D'ailleurs, il sauta littéralement sur moi et cria:

"je t'aime tu sais mes lolos d'amou..."

/PAFF/

Holé! Encore une pichenette, juste entre les deux yeux, celui-ci vola à travers la pièce avant de s'écraser sur le mur.

Invité

Il restait à nouveau calme en voyant la peluche en train d'hurler. Il ne pouvait rien y faire et se demandait alors s'il avait agit d'une manière correcte, son regard assez vide se posant sur celui qui avait l'apparence d'un jouet pour enfant. S'il l'avait frappé, c'est parce que ce n'était pas un élève et surtout car il était sûr de ne pas lui faire réellement mal avec le corps qu'il avait, du moins, il aurait pu en le déchirant avec ses coups qu'il avait volontairement retenu. Il se relevait malgré les coups, un humain normal aurait été normalement sonné car il y avait quatre points vitaux qui auraient dû être atteint. Le bas du nez, le haut du nez, les côtes et le cœur. Le fait qu'il se relevait provoqué un certain amusement chez le professeur, ainsi qu'une légère admiration pour celui qui s'avançait vers celle qui le frappait, comme un amour plus fort que la torture qu'il subissait. C'était admirable... Ou juste stupide.

Il se prit un coup et ses mots rappela à Foly ceux qu'il avait dit quelque instant plus tôt. Lui ? Un méchant ? Il était juste, voilà tout. Enfin, c'était vrai que sa justice était peut être un peu plus dure que dans les alentours et il ne pouvait rien dire pour se protéger, il ne pouvait que subir et à la limite se racheter. En attendant, la demoiselle semblait tenter de le rassurer, c'était sûr que s'il avait un organisme, il aurait dû mourir à de nombreuse reprise au cours des quelques minutes qui s'étaient passés et voilà qu'il se jetait encore une fois sur celle qui avait la grosse poitrine. Il lui lançait des mots d'amour, Foly voyait la pichette arrivant et il lança son pied à tout allure d'un geste agile, celui-ci ne frappa pas mais bien "poussa" la peluche un peu plus haut pour qu'elle évite le coup de la demoiselle et une fois chose faite, Kon tomba dans le creux de la main du professeur qui ne le tenait pas vraiment en réalité. Il le regardait avec un regard vide, avec un doute sur le visage.

Foly - "As-tu un commentaire sur ma vision personnelle de la justice, Kon?"

Il n'attendait pas vraiment de réponse, supposant qu'il ne pourrait pas changer ce petit personnage mais au moins tenter de se faire respecter serait un début. Il jeta par la suite Kon sur le lit d'un geste ample de la main, d'un naturel et d'une grâce rare, comme si même l'air était nommé au absent, incapable de dévier la trajectoire de cette main qui revenait bien rapidement le long du corps du professeur qui regarda la peluche avec un petit sourire vainqueur avant de dévier le regard vers la demoiselle.

Foly - "Et bien, c'est rare de voire des élèves si tôt dans leurs chambres? Je ne veux pas croire que je vois un enfant modèle face à moi, ils se font si rares dans cette école..."

Il n'avait qu'un an de plus qu'elle qu'il la nommait enfant et il allait droit au but, trouvant une conversation dans un endroit qui se faisait bien silencieux si on retirait les interventions de Kon qui devait déjà être en train de se redresser. Pendant ce moment, le professeur enlevant sa veste en cuir, pour quelqu'un qui était habitué aux températures montagnardes, une pièce comme celle-ci surchauffait était un peu trop. Il dévoila ainsi son torse nu, avec une musculature parfaite, pas un seul gramme de graisse, le tout recouvert par un bandage recouvrant que le torse et laissant le ventre du professeur à l'air, tout comme ses épaules où se présenter du côté gauche un tatouage tribal assez imposant.

Foly - "C'est surchauffé ici, ma parole..."

Kon passait vraiment pour un abruti fasse à ce professeur, mais je ne faisais pas bien attention... Quand il "s'amusa" un peu avec lui, a mon avis, il n'avait pas très "mal" vue que ce n'était qu'une peluche. Je rigola intérieurement, mais restais sans rien dire.

"Et bien, c'est rare de voire des élèves si tôt dans leurs
chambres? Je ne veux pas croire que je vois un enfant modèle face à
moi, ils se font si rares dans cette école..."

Non, je n'étais pas vraiment une élève modèle, surtout que je ne faisais que boire à longueur de temps. Du saké, oh oui le saké!
Mais je repris mes esprits et répondit...

"En fait, je suis nouvelle ici, je ne connais déjà pas mes colocataires et je connais très peu de gens, donc je reste un peu ici."

Ensuite, il enleva sa veste et laissa place à un beau torse bien musclé avec des bandages et un tatouage, han j'aimais les tatouages, ce professeur me faisais presque oublier Gin... Kon ne se relevait pas et poussa un soupire.
Je regardais Foly vraiment avec... Eu... Admiration? Oui je crois que c'était le mot. Mais bon, je pensais beaucoup à Gin et aussi, c'est un professeur!
Kon nous observait d'un œil noir et luisant, ça m'énervais.

"Toi t'arrête de regarder les gens comme ça!"

Je soupira et croisa mes bras. Ensuite, je regarda Foly et lui dis.

"Alors, vous, c'est surtout la force votre domaine? Moi non, je ne suis que maitre d'arme. Je peux aussi me changer en "shinigami" et accroitre ma force et ma vitesse."

Et aussi, je savais pas résister, mais qu'il est beau! Ça, à chaque fois que je voyait des hommes, je regardais toujours la beauté physique mais aussi intérieure...

Invité

Elle semblait un peu dans les nuages, Foly passant le temps de ce bref silence à l'observer, ses yeux ne la caressaient pas, il se montrait froid, aucun désir spécial ne montant en lui. Si elle le regardait avec admiration, il la regardait comme il regardait un autre élève, avec cette neutralité alarmante sur son visage qui ne laissait sortir aucune de ses émotions, à supposer qu'il en avait à l'instant présent. Sa tête était vide, il la remplissait d'information sur la personne qu'il avait fasse à lui, ainsi que sur la peluche dont il avait remarqué le regard. Cela le surprenait qu'une peluche avec des yeux en plastique pouvaient avoir un pareil éclat dans la prunelle, c'était intrigant cette petite créature. Il semblait d'ailleurs attiré plus l'attention que Rangiku à ce moment précis et Foly fut sorti de ses idées par la demoiselle qui racontait des choses sur elle, ses paroles rentrant dans l'oreille du professeur comme des informations dans une machine, froide et imperturbable. Il voulait lui dire qu'elle devait mieux se balader dans les parages, l'histoire de trouver ses repaires mais il se faisait poli, préfèrent la laissait faire à sa manière comme elle le laissait faire comme il le désirait.

Elle avait aussi un regard étrange en regardant le professeur qui la fixait droit dans les yeux avec une indifférence des plus totale. C'était son regard normal ou elle observait toujours les gens ainsi? Il trouvait cette lueur plutôt malsaine, comme si c'était une faiblesse. Bien sûr, il avait aussi eu de l'admiration pour des personnes dans le passé, comme il en avait eu envers Kon et sa résistance, mais cela faisait depuis longtemps qu'il n'avait plus montrer cette admiration à travers un regard, c'était il y a longtemps, devant des Maitres du Rakan Niôken alors qu'il n'était qu'un simple gamin sans réelle force.

Elle croisa des bras, soulevant davantage sa généreuse poitrine, regardant à nouveau Foly, abandonnant encore une fois son compagnon qui semblait avoir enfin abandonné le combat. Elle essaya d'évaluer le domaine du professeur et elle n'avait pas vraiment tord. Foly avait une frappe puissante mais cela n'était pas ce qui avait fait de lui un maitre dans l'art martial qu'il prônait, les autres maitres ayant une apparence de montagne de muscle monstrueuse. Non, son domaine à lui, c'était plus la précision mais on pouvait dire que pour le "commun des mortels", le mot "force" devait suffire. Elle parla ensuite d'elle, parlant de son rang de maitre d'arme et il semblait montrer un peu d'étonnement, elle ne semblait pas avoir de force à voire ses bras et cette poitrine devait être handicapante. Il eut alors l'image des femmes guerrières qui se coupaient un sein pour pouvoir tirer à l'arc autre fois mais c'était déjà bien loin et surement qu'elle devait avoir un pouvoir pour arranger ce problème. Elle se présenter également comme une Shinigami et Foly resta neutre même si le mot semblait avoir été le seul à avoir atteint le fond de son cœur. Il serra un peu les dents à ce moment, disant faiblement "Dieu de la mort" en sa langue maternelle, le Russe. Il fallut détourner le regard, contractant un peu ses muscles, comme se gonflant comme certains animaux lorsqu'ils ont peurs. C'était une réaction normale pour un humain normal comme lui.

Foly - "Dieu de la mort? Ce n'est pas un nom un peu arrogant? Je n'y crois simplement pas. Nul n'est digne de se nommer ainsi, demoiselle. Et si un jour un Dieu de la mort s'est montré, je doute que votre force puisse l'égaler. Ce n'est qu'un nom pour effrayer les ennemis naïfs..."

Il sembla se concentrer surtout sur Kon qui résistait et qui abandonna le combat.
Mais moi, je crois qu'il en avait rien à foutre, mais je m'en foutais un peu.

"Dieu de la mort? Ce n'est pas un nom un peu arrogant? Je n'y
crois simplement pas. Nul n'est digne de se nommer ainsi, demoiselle.
Et si un jour un Dieu de la mort s'est montré, je doute que votre force
puisse l'égaler. Ce n'est qu'un nom pour effrayer les ennemis naïfs..."

je regarda Foly, tout le monde nous sortait des choses comme cela, j'avais donc l'habitude.

"Non, en fait, ce n'est qu'un nom que l'on nous donne. En fait, quand je rencontre un esprit qui semble bon, donc nommé plus, je l'envoie dans un endroit, nommé le Soul Society, et celui-ci s'en va comme au paradis. Si c'est un mauvais, alors il se nomme Hollow. Notre devoir est surtout de les éliminer."

je regardais Foly qui semblait franchement être tendu, j'aimais pas quand les gens sont tendus, la première chose qui me vint à l'esprit c'est... MA POITRINE! Oui, elle faisait toujours des ravages, je pris Kon et le mis dans un tiroir, celui-ci s'agitait et criait.

"Non! Il fait tout noir! j'ai peuur!!"

je fis ma petite bouche toute malicieuse et mon regard de chat. Je m'assis sur mon lit tout en regardant ma bretelle que je descendis doucement , ensuite je leva le bout de ma jupe et regarda d'un air malicieux la réaction de Foly...

"AH!! Je veux voir! BOUHOUHOU!!!"

Kon commençait à pleurer et a cogner dans le tiroir.
Je fis ensuite mes yeux pétillants et descendis la même bretelle un peu plus bas...

Invité

Elle lui répondu d'une manière qu'on pouvait qualifié de satisfaisante. Foly ne savait rien du paradis ou bien de l'enfer, il avait sa propre vision des choses et il eut un petit sourire en voyant l'explication de la jeune fille, à vrai dire, cela collait assez bien avec cette vision qu'il avait. Il eut un petit sourire rassuré en entendant cette explication, ils étaient donc des espèces de messager ou bien des gens qui aident à passer de l'autre côté. Le professeur avait le regard entre ouvert, comme un peu perdu, et il réfléchissait à tout ça, son attention se tournant plutôt vers extérieurement où Sniezka s'était endormi avec un léger sourire aux lèvres, comme assuré que sa tendre moitié n'allait pas faire d'erreur. Il fallait croire que cela devait se passer ainsi, une découverte avec une ange en quelque sorte. Il eut un petit rire satisfait rien qu'en y repensant et il sentait son cœur de faible mortel gonfler.

Foly - "Les utilisateurs de Rakan Niôken a pour réputation de transformer celui qui le pratique en démon. Cela voudrait dire qu'à ma mort, je deviendrais un de ces Hollow. Qu'est-ce que ça fait d'avoir un futur adversaire devant soit et de se dire que déjà maintenant, il a des chances de vous surpasser en force?"

Il parlait ainsi mais visiblement, la demoiselle semblait occupé à autre chose et il la regardait. La dévorant du regard, elle pouvait sentir qu'il avait juste envie de lui sauter dessus. Mais ce n'était pas pour les même raisons, il voyait en elle un ennemi que certains verraient comme immortel. Il rougissait presque face au défi de savoir qu'il allait devoir affronter la mort elle-même et qu'il pourrait encore se battre après, pour pouvoir écraser ces personnes étranges avec le surnom arrogant de Shinigami. Cela promettait d'être intéressant. Mais pour l'instant, Matsumoto semblait vouloir attirer l'attention en tentant des choses étranges. Une bretelle qui descend, une jupe qui monte, un regard étrange qui attirait effectivement l'attention du professeur. Elle lui voulait quoi?

Vu comment la bretelle descendait, cela allait devenir dangereux et Foly connaissait assez bien le règlement. Il voulait dire que les relations entre élèves et professeurs étaient interdites mais ce n'était même pas le cas. Il ne savait pas comment réagir, il se posait juste des questions, il n'avait pas d'envie, à croire qu'il était gay ou bien qu'il n'avait simplement pas la tête à ça. Il se contentait de la regarder, avec un air neutre comme il en avait l'habitude qui, dans ce contexte, pouvait être prit comme une provocation de la part de la demoiselle face à lui.

Foly - "N'est-ce pas cruel de priver ton compagnon de ce genre de chose? Il a supporté bien plus de chose que moi, je pense, il ne le mérite pas davantage?"

Certains verraient là une façon polie de détourner une invitation que certains auraient volontairement sauter dessus. Foly était du genre à préférer la bataille et les duels de logique que les parties de jambe en l'air ou autre. Il n'aimait pas paresser, il préférait courir et risquer sa vie. Il n'aimait pas les jeux vidéos, il préférait faire les choses qu'on y faisait en vrai. Même si c'était vrai qu'il était incapable de jeter des boules de feu ou autres...

je ne faisais pas attention à ce qu'il avait dit avant. Juste que je perçus quelques mots, oui ben oui, si je devais me battre contre con hollow, je le ferrais. C'est mon rôle et mon devoir de tuer les hollows et d'assurer la protection des gens, j'y mettrais peut-être la vie mais je protègerais les miens. Je regardais toujours Foly qui semblait être intrigué. Quel coincé celui-là!

"N'est-ce pas cruel de priver ton compagnon de ce genre de
chose? Il a supporté bien plus de chose que moi, je pense, il ne le
mérite pas davantage?"

je regarda le tiroir et soupira.

"Oh ne t'inquiète pas il est très bien là où il est."

Je regarda ma bretelle et la descendis encore plus. Quel coincé! Je devais employer la manière forte... Ma bretelle était maintenant tombée, je devais plus que relever un peu la jupe... Kon arrêta de gesticuler pour essayer d'ouvrir le tiroir, mais en vain.
Je regarda Foly avec cet air toujours aussi malicieux.
Je pétillais du regard et cligna des yeux plusieurs fois.
je me coucha d'ailleurs sur le lit, toujours en train de regarder ce bel homme bien musclé qui ne montrait aucune réaction. J'aimais voir les hommes réagir, et lui, je devais pousser gros, d'autres auraient déjà saigné du nez, ou tombés et en me suppliant d'arrêter, mais lui, rien.
Sa me donna envie de sourire et je le fis, toujours en train d'attendre la réaction de Foly, la main sur la jupe qui remontait doucement...

Invité

Foly - "Qu'essaies-tu de faire?"

Sa voix ne montrait aucune sensation particulière. Cela faisait déjà quelque minute qu'il observait cette demoiselle, qu'il pouvait qualifié de jolie, en train de faire des choses bizarres toute seule sur son lit. Il n'était pas intéressé, peut être simplement car il ne voyait pas l'utilité d'un désir si primitif. Enfin, c'était vrai que certains, il ne pouvait pas les empêcher de resurgir et pour l'instant, il était calmé de tout. Il avait juste le regard sur la demoiselle avec son regard si pétillant, on aurait dit réellement un enfant et ce côté innocent le dégoutait légèrement, un signe de faiblesse ou bien un moyen de l'attendrir, il n'avait pas réellement comprit le principe de la chose. Il se contenta de prendre une chaise et de la tirer vers lui pour s'y installer, regardant juste la demoiselle, mettant un coude sur un genoux, le menton sur le poing et garder la pause qui faisait ressortir sa musculature un peu plus. Il n'avait pas une musculature élégante ou même belle aux yeux des jeunes gens. Ce n'était pas vraiment la musculature qu'on voyait sur le corps des héros actuels de manga en faites et généralement, les gouts étaient légèrement influencés par ça. La demoiselle semblait pourtant avoir une espèce d'attirance envers le professeur, c'était la seule observation qu'il avait faite, sinon pourquoi elle se déshabillerait de la sorte face à lui?

Il restait neutre et se demandait pourquoi il restait. Son regard se tournait vers le tiroir où était la peluche et il eut même un léger bâillement en croyant que même lui s'était endormi. Il resta dans sa pause et avec son autre main, il remit ses cheveux correctement de façon de ne pas avoir la vue gâchée. Il eut finalement un léger rire, on aurait dit un ancêtre qui avait vu milles femmes défilant devant lui, qui se serait lassé de la chose, alors que ce n'était qu'un humain sorti de l'adolescence qui avait surement un problème à la tête et qui s'était entrainé avec des filles nues pendant toute sa jeunesse, un entrainement pour éviter des envies du genre, seul désir qui compte, le combat. Bien sûr, il ne pouvait pas être totalement indifférent, il demeurait toujours humain.

Foly - "Cela n'est pas suffisant pour m'intéresser si tu veux tout savoir, petite Shinigami..."

Son regard était effectivement tourné vers l'armoire. Ce n'était pas qu'il était coincé, juste qu'il n'était, comme il l'avait dit si bien, même pas intéressé et que ce petit machin qui semblait immortel à cause de son corps en peluche l'intriguait un peu. Celle pilule où était l'âme de Kon, il pouvait la mettre dans quelque chose de plus conséquent, il suffisait de trouver un corps plus grand et plus solide, plus adapté pour un combat. Et vu que Kon ne l'aimait pas, ça allait surement être passionnant.

Foly ne prêtait presque aucune attention pour moi. Il ne fit que s'assoir sur une chaise à me raviser le coude sur le genou et la tête sur la main et surtout les yeux rivés sur le tiroir, du coup je me releva et dit...

"Bon, y en a marre, tu veux t'battre?!"

un combat amical bien sur. Je savais très bien que je n'allais peut être pas sortir vainqueur de ce combat, mais j'aurais vu de quoi il est capable.

"Aller, on va faire un truc, le premier qui met K-O son adversaire à gagné. Pas à mort bien sur. Et aussi, arrête de regarder le tiroir de Kon comme ça, je le garde un point c'est tout, si tu veux une pilule d'âme artificielle, tu n'as cas aller à la Soul Society t'en procurer."

Je me leva et me changea soudainement en shinigami, tenue noire, écharpe rose autour du cou, et mon katana à la taille. Mon corps tomba lourdement sur le lit. Je croisa les bras, regarda Foly et attendis sa réponse. Pendant ce temps, j'ouvris le tiroir et dis à Kon.

"Aller, sort de là et surveille mon corps toi!"

"Euh oui mais fais attention!"

Invité

Elle semblait s'énerver, Foly ne savait pas comment le prendre, c'était une bonne chose, non? Il voulait se battre contre un de ces dieux de la mort et la situation se présentait à lui, mais pouvait-il frapper une élève? Il regardait le corps de la demoiselle se séparant en deux, laissant une envellope vide, tombant sur le lit et puis, Kon libéré pour pouvoir le surveiller, à croire que quelqu'un pouvait surgir comme ça de nul part pour le voler. La tenue de la demoiselle s'approchait un peu plus de celle de Foly, plus sombre mais plus adapté au combat que le jeans qu'il portait, cela le poussa à faire un soupir et à se redresser, montrant toute sa hauteur et sa largeur, un véritable corps de combattant. La transformation de la demoiselle la rendait plus forte et plus rapide à ce qu'il avait entendu, c'était une bonne chose, mais ce n'était pas une transformation physique montreuse comme il l'aurait cru, comme lui. Il commença donc par se faire craquer les doigts et adopta une posture bizarre, qu'on n'aurait pas su dire offensif ou défensif. Le pouvoir de Foly était la force et il comptait bien le montrer maintenant.

Il eut comme un éclat rouge dans lequel il disparait. C'était en réalité son aura qui était apparu subitement, et pendant ce laps de temps, il avait mit toute sa force dans ses jambes pour arriver derrière elle, la frappant au passage dans le talon d'Achille, un point vitale, la forçant à tomber en arrière, la frappant à la cinquième et septième lombaire avec un coup de coude, encore deux points vitaux atteint. Il utilisa sa main libre pour attraper le col du kimono de la demoiselle, la tirant de manière à la faire basculer face à plat ventre sur le lit, s'installant sur ses fesses et l'aura disparaissant doucement. Les points vitaux sont des endroits où, frappés assez fort, peuvent provoquer la mort et le domaine de Foly était la précision, il avait simplement frapper assez fort pour désorienter, il n'avait guère besoin d'un pouvoir quelconque pour cette opération, juste d'une bonne vue, l'aura n'ayant été là que pour "éblouir" l'adversaire pendant le couple de seconde qu'il lui avait suffit pour faire l'enchainement, craquant les bandages qui le retenaient, ainsi que son jeans au niveau des genoux dans un effort de souplesse.

Foly - "Mon Rakan Niôken utilise les points vitaux de l'adversaire. Maintenant, si tu es si forte que ça, libère toi, Shinigami."

Il avait été décider qu'il serait professeur car il n'avait plus rien à apprendre et surtout car il avait la force pour pouvoir gérer tout un groupe d'élève. Mais il ne serait pas surprenant qu'un seul puisse en venir à bout de lui. Pour l'instant, il avait réussi son coup qu'avec de la surprise, montrant une vitesse surhumaine et enchainant les coups spéciaux et précis. Il avait saisi le bras de la demoiselle, le tordant dans son dos pour l'immobiliser, une technique de base qui s'avérait souvent très efficace.

Il se pencha sur elle, comme pour l'embêter, il commença à lui mordiller l'oreille, tout d'abord tout doucement avant de donner un petit coup de langue, mordiller le lobe et tout ça pour finir par la mordre un peu plus sauvagement jusqu'au sang. Ce n'était pas une blessure profonde, surement que lorsqu'elle allait se lever demain matin, cela serait déjà presque disparu de son corps de "Shinigami".

Il se redressa, oui j'avais demandé le combat, et j'allais assumer. Mais j'avais envie de voir ce qu'il savait faire. D'un mouvement rapide tel un shunpo, il arriva derrière moi, je le vis et sentis arriver, mais sa pression spirituelle était très élevée, ceci me compliquais la tâche. Je sentis aussi un coup dans mes tendons d'Achille. Je le sentis passer ce coup, et je tomba en arrière, ensuite, il me toucha également dans les lombaires des coudes.
Il m'attrapa par le col et me jeta sur le lit le ventre contre le matelas, heureusement j'avais mon zanpakutõ dans la main, et je savais l'invoquer... Mais je ne le fis pas de suite. Il... Il s'installa comme ça? Sur mes fesses?! Ok...

"Mon Rakan Niôken utilise les points vitaux de l'adversaire. Maintenant, si tu es si forte que ça, libère toi, Shinigami."

Oui, pour le libérer, j'allais le faire t'inquiète pas.
Ensuite, pour me mettre mal à l'aise ou pour une quelconque autre raison, il se pencha sur moi et me mordilla l'oreille, bien sur, c'était déjà assez difficile de bouger comme ça, alors là...! Il me mordit enfin jusqu'à sang, mais je ne le sentais presque pas, peut être ne le savait-il pas, mais dès que je retourne dans mon corps, mes blessures réapparaissent, mais ça, je m'en foutais complètement. Ensuite, je murmura quelques mots....

"Miaule... Haineko..."

mon sabre commença à se désintégrer en cendre, et mon manche resta dans ma main, de simple contrôle d'esprit, je dirigea l'amas de cendre sur Foly, cette cendre que j'avais formée se rua sur lui, le coupant ainsi en dessous de l'œil droit.
Je l'avais touché donc, son reiatsu n'était pas imposant sur la chair comme pour les shinigamis, c'était bien, très bien même, mais c'était un prof, et lui, j'allais pas trop l'amocher non plus. Déjà que moi, je vais devoir avoir une bonne nuit de sommeil pour rattraper tout ça, et encore.

Je repris le contrôle de la cendre et le toucha ensuite à l'épaule. Du sang giclait de partout, surtout sur mon lit, j'espérais que les autres colocataires n'arriveraient pas à cet instant. J'avais quand même mal malgré que j'arrivais encore un peu à bouger.
Kon regardais caché dans le tiroir.

"Ran...Rangiku... Ça va...?"

Je ne détournais pas mon regard, surtout que je ne savais plus trop bouger et que je n'avais plus que Haineko pour me battre.

Invité

Elle ne gémissait même pas à la morsure, cela ne le gêna pas vraiment en réalité et il se contenta de lécher la légère blessure qu'il lui avait faite, lui caressant la nuque et les cheveux avec sa main libre. Il semblait plutôt satisfait de ce qu'il faisait, aimant bien manipuler un autre corps, pour pouvoir sentir les muscles et autres en faites, une manière bien étrange de trouver les autres points vitaux chez un individu. Mais la réponse aux caresses vu assez inhabituelle, Foly étant habitué à de la surprise ou bien un désespoir mal placé avec ce qui se présentait en réalité comme un étrange besoin cannibale de la part du professeur qui s'immobilisa en entendu le nom d"Haineko" et il se posait alors une série de question. Qu'est-ce que ça pouvait être? Il continua à la maintenir contre le lit, écartant les jambes pour les resserrer sur les siennes pour l'empêcher de les bouger également, son regard se crispant sur l'épée de la demoiselle. Surprise.

C'était quoi ça? Une épée démoniaque? Foly connaissait maintenant le nom et sa force brute n'allait pas être suffisant pour pouvoir contenir ce genre d'attaque. Il sentit une légère pression au dessus de son œil droit, des coups de sang tombant sur le visage de la demoiselle et le forçant à un peu se redresser. Il jeta des coups d'œil sur le côté, ne voyant qu'une légère poussière dont il devenait l'origine. Il n'avait pas peur, Sniezka ne se réveillant donc pas. Il savait ce qui lui restait à faire. Il se souleva un peu le bras de la demoiselle, comme pour le briser, mais son emprise se lâcha quand il fut blessé à l'épaule, son sang giclant sur le lit et le forçant à pousser un légère soupir, portant une main sur cette plaie.

Foly - "Tu as là un pouvoir fort dérangeant, petite Shinigami !"

Il leva légèrement les hanches, attrapant l'épaule de la demoiselle pour la retourner sur le ventre, s'asseyant sur son bassin et sa main se posa sur son ventre, remontant doucement pour caresser sa poitrine comme il l'avait caressé quelques instants auparavant. Il avait une main baladeuse, pendant que l'autre lui tenait l'épaule. Que cherchait-il à faire en ayant un comportement pervers dans une telle situation où il était exposé à toute sorte d'attaque? Il allait juste faire en sorte d'arrêter ce pouvoir en paralyser dans demoiselle. Il serra le point, refaisant sortir légèrement son majeur pour frapper avec la phalange.

Foly - "Voyons voire la résistance ~"

Trois coups fut portés, assez puissant pour laisser une marque. Un coup au niveau de la poitrine, l'atteignant dans les côtes, lui provoquant des douleurs respiratoires, un coup tout de suite après légèrement plus haut, dans le cœur, provoquant une absence de sang à certains endroits du corps, provoquant une fatigue extrême, et pour finir, un coup au niveau du plexus, bloquant la respiration de la demoiselle et ne faisant qu'augmenter les effets des deux autres frappes.

Par la suite, il lui donne un coup de pouce au sens propre dans la tempe, provoquant un "choc martial", en gros, il l'avait sonné déjà qu'elle l'était déjà à cause de la frapper au corps. Après tout cela, il lui présenta son majeur, l'attaquant au niveau du coude, allant dans un creux et lui donnant des impressions d'électrocution stupide pour la forcer à lâcher l'arme en la frappant au niveau du poignet par après.

Il se leva, se laissant tomber en se servant de la gravité et de son poing en enfonçant son genoux dans l'entre jambe de la demoiselle, un gros coup dans le genre qui fait bien mal même pour les femmes. De quoi lui faire sentir des difficultés si jamais elle venait à se redresser, surement qu'un humain normal allait avoir mal encore jusqu'au lendemain. Au total, il avait frappé cinq points vitaux chez la demoiselle, dans le but d'assommer, bloquer la respiration et bloquer les mouvements, sans réellement savoir comment allait réagir un corps de Dieu de la mort. Dans le bénéfice du doute, il préféra s'écarter d'un bond, se tenant toujours le bras qui restait le long de son corps. Il adopta une position neutre qui faisait penser à un soldat, mit à part une main tenant une épaule blessée et son regard se tourna pendant quelques instants vers sa longue veste noire où il y avait des bandages...

Il semblait surpris de mon invocation de zanpakutõ.

"Tu as là un pouvoir fort dérangeant, petite Shinigami !"

J'aimais combattre, même si je devais souffrir ou même être gravement blessée, même si je perdais ou si je gagnais, là était ma force, je m'entrainais, et maintenant, j'ai pour but de devenir meilleure que lui. Et j'allais surement aller dans ses cours pour m'entrainer!
Il voulu me briser le bras quand Haineko arriva pour lui trancher l'épaule.
Foly compris surement que je contrôlais mon sabre avec l'esprit, facile à deviner aussi!

Il me retourna rapidement pour s'assoir sur mon bassin. Il se mis à caresser ma poitrine aussi, ça j'aimais bien <3 *HS*. Je le sentais, il prenait plaisir à me massacrer, mais en même temps, je voyais bien qu'il voulait faire en sorte de me violer.
Je pensais pas à ça, et je m'en foutais un peu. Ensuite de l'autre main, il me tenait l'épaule pour me frapper à la phalange.

"Voyons voire la résistance ~ Un peu de repos pour une fille... [libre] Moz-screenshot-1

Un peu de repos pour une fille... [libre] Moz-screenshot-1

Un peu de repos pour une fille... [libre] Moz-screenshot

"

On aurait dit qu'il me testait, pour voir comment je réagissais ou bien autre chose.
Il me porta trois coups. Un à la poitrine, m'empêchant de respirer correctement, un deuxième dans le cœur qui me fatigua et qui bloqua une partie de mon sang de circuler correctement. Et un troisième au niveau du plexus, qui m'empêchais aussi de respirer correctement. Et un "coup" dans la tempe, qui me sonna fortement, en gros, j'étais sous son emprise. Je ne savais plus bouger, il "m'électrocuta" et me fis lâcher mon katana qui repris forme et qui tomba lourdement sur le sol.

Je ne savais plus bouger, à peine j'étais encore consciente. Ensuite, il me porta un coup en plus juste entre les jambes, mec ou pas, ça faisait mal, très mal même...
Oui, j'avais mal, je n'arrivais presque plus à bouger, j'avais envie de me relever, mais j'avais mal, mais je me posa sur mon bras gauche qui lâcha de suite.
En gros, il avait surement gagné, pas surement, il avait gagné...
Je resta allongée sur le sol, ne sachant plus bouger.

Invité

Il la regardait, immobile. Quant à lui, il avait l'impression d'être légèrement essoufflé à cause de la surprise de son épaule tranchée. Il y repensait, il avait de la chance, ses muscles et même sa peau ayant fortement diminué l'impact du coup qu'il avait reçu. Il se dirigea alors vers sa veste, voyant bien qu'il l'avait correctement frappé et il sortit des bandages, se léchant l'épaule avec une grande souplesse avant de passer le tissu blanc sur son corps, l'autre ayant été déchirer lors de sa confrontation. Il soupirait à l'idée de devoir racheter du bandage, il était quelque fois content d'en avoir prévu, sachant bien que sa louve irait lui faire la tête s'il venait à blesser ce corps qu'elle considérait sien. Quelle jalouse celle-la alors...

Il se dirigea alors vers le gigai de la demoiselle, le regardant avec une neutralité, voyant Kon qui semblait prêt à protéger. Il eut un geste rapide, sa main passant à ras de la tête de la peluche qui resta figer par un léger sentiment de peur et de surprise. Il remonta alors la bretelle que Matsumoto s'était amusé à descendre tout à l'heure et par après, il allongea correctement le corps qui était tombé un peu n'importe comment. Par la suite, il se dirigea vers le Dieu de la mort et l'attrapa au col, la soulevant avec une force rare et la regardant avec toujours un air neutre, comme regardant son état, elle semblait effectivement bien amoché mais il pouvait voire qu'elle était toujours consciente, voulant bouger. Il soupira et un léger sourire monta à ses lèvres, bref et quasiment invisible.

Foly - "Les règles sont les règles, n'est-ce pas?"

Il la lâcha, la laissant tomber et avec sa main libre entourée d'une légère aura rouge, il la frappa avec violence au niveau du plexus, l'onde de choc traversant le corps de la déesse qui devait se retrouver à cracher un peu de sang, de quoi la mettre réellement K.O. Il soupira, regardant la demoiselle qui restait immobile sur son poing et il la laissait glisser sur le lit, où il l'allongea à côté de l'autre corps artificiel soigneusement. Il sortit un mouchoir et commença à essuyer le sang qu'il y avait sur son visage, sur sa peau en principal, lorsqu'il avait atteint à l'épaule, ça avait giclé un peu partout, il devait aussi nettoyer le gigai et il le fit calmement et avec soin, la peluche étant simplement incapable de l'arrêter dans sa tâche.

Par après, il reprit place sur sa chaise, attendant juste qu'elle reprenne conscience. Il avait l'habitude de combattre avec ses techniques alors il pouvait estimer un peu la durée de son sommeil qui allait être de peut-être une demi-heure. En attendant, il resta sur sa chaise, observant juste les deux corps, on aurait dit des jumelles. Le tout en restant assis sur Kon qui se plaignait qu'il allait étouffé sous son cul.

Foly - "Tais-toi un peu... Tu n'as pas de poumon je te rappelle..."

Je sentis ensuite qu'il me pris par le col pour ensuite me mettre K-O avec un coup de poing. J'avais trouvé plus fort que moi, c'était bien évident. Mais j'en étais assez contente, contente d'avoir trouvé plus fort que moi, pour essayer de dépasser Foly.
Je m'étala sur le sol. Je n'étais bien entendus plus consciente. Kon se débattait pour "protéger" mon corps entre autre. Et Foly m'allongea près de mon gigai sur le lit.
Kon était sous les fesses de Foly.

Après environ une demi-heure, j'étais un peu plus "consciente" et me remis dans mon corps, une fois remise dans celui-ci, mes blessures réapparaissent, notamment les coups portés ou points vitaux, le coup de poing etc...
Seul les tendons étaient intacts.Sous la douleur qui revenu tout d'un coup je hurla et m'assis les mains sur mon ventre. Je venait de "reprendre" les coups portés une deuxième fois. Une fois ce hurlement passé, je m'étala de nouveau sur le lit, les yeux mis-ouvert.

Je regardais, je voyais une silhouette assise sur une chaise qui me regardais.
Je vis que c'était Foly qui était là.

"Qu... Que fais-tu encore là? Tu as gagné, tu peux repartir..."

Je regardais toujours Foly sans émotion, allongée sur le lit avec Kon qui se débattait des fesses de Foly...

"Rangiku! Il t'as foutu en bouillie! T'aurais vu ça! J'ai cru que tu étais morte!"

"Dis pas de conneries..."

A ce moment là, j'essayai de me lever, mais j'avais encore pas mal de blessure, donc je recracha du sang. Je me recoucha dans le lit et continua de regarder Foly.

°Gin, tu me manque tellement°

Invité

Elle reprenait enfin connaissance et elle ne voyait surement pas Kon qui était attaché à un pied de la chaise où se trouvait Foly qui avait toujours la même position, un coude sur le genoux, le menton sur un poing. Il l'observait depuis une demi-heure, méditant en attendant. Il la voyait blessée, cela lui faisait un petit effet, il avait attaqué une élève et tout ça, pour un combat qui ne s'était avéré intéressant. A vrai dire, il était un professeur, surement que les professeurs devaient être intéressants, mais pas les élèves. C'était assez logique pour dire vrai, mais on pouvait toujours rêver.

Elle bafouilla un peu au début mais parvenu à lui répondre. Lui demandant pourquoi il était là et il soupira en l'entendait parler. Elle le tutoyait, c'était un professeur, merde, mais ça allait encore. Il monta à quatre pattes sur le lit, avec une petite lingette humide et commença à lui essuyer le visage bêtement, resserrant les bandages qu'il lui avait fait au bras pendant son sommeil, tout ça pour maintenir une compresse sur l'épaule qui avait commencé à enfler lorsqu'il était parvenu à lui torse le bras en faites. Il était donc à califourchon sur elle, toujours restant neutre et la soignant, ayant prit soin de fermer aussi son décolté tiens, pour qu'elle n'attrape pas froid.

Foly - "Pour m'assurer que tout va bien. Et partir comme un voleur, ce n'est pas très poli, non?"

Il la regarda et mit sa main sur son poitrail, au dessus de ses seins, et la plaqua contre le lit assez doucement. Il se redressa et retourna vers sa chaise, libérant enfin la peluche et remettant ses lacets dans sa chaussure. En effet, il s'était servi d'un lacet pour saucissonner Kon à la chaise et il le vivait très bien.

Le professeur me regardais toujours de la même façon, le coude sur la jambe et la tête sur le poing. Ensuite il arrive à quatre pattes près de moi pour m'essuyer le visage, je me laissa faire. Je ferma les yeux un instant. J'étais encore faible.
Je regardais le professeur qui avait un assez beau corps et un beau visage également...
Je souris et repensa encore à Gin, qui ne faisait que me manquer, comme un hollow qui me rongeait jusqu'aux os. Même si il y avait des gens sympa ici, je me retrouvais dans un dortoir, comme ça, que je ne connais même pas les gens qui y sont...

Je tourna ma tête vers le professeur qui repris sa place habituelle...

"Pour m'assurer que tout va bien. Et partir comme un voleur, ce n'est pas très poli, non?"

En effet, ce n'était pas très poli. Je ne broncha pas et soupira. Il détacha Kon qui était attaché. Celui-ci se rua sur moi.

"Rangiku! Enfin! Je peux être près de toi!!"

je regardais Kon qui tenait mon bras bandé par Foly, je le laissa faire, ça pouvais peut-être le rassurer.

"Merci en tout cas. Et j'ai apprécié me battre contre toi."

Je le tutoyais, car je ne savais pas trop comment lui parler.
Je regarda encore le plafond à réfléchir à la Soul Society, de plus, pour je ne sais quelle raison, Foly me faisait penser au capitaine... Le calme, surtout le calme de ce professeur m'envahissait. Je repensais aussi, aux capitaines, et aux autres...

Invité

Elle semblait toujours absente, son regard n'indiquait qu'une étrange tristesse que Foly n'était pas en mesure de comprendre. Quoique... Il venait aussi d'autre part, un endroit qu'on aurait pu qualifier d'autre monde, tout comme cette fameuse Soul Society. Le simple fait qu'elle laissait enfin Kon s'approcher indiquait que quelque chose ne tournait pas rond et ce n'était toujours pas suffisant pour inquiéter le professeur qui était juste heureux dans le sens qu'elle arrêtait de tenter de le provoquer. De toute manière, ça pouvait être aussi car elle n'en avait plus vraiment la force.

Elle parlait qu'elle avait apprécié le combat et ce fut à partir de ce moment où il ne l'écouta plus. Il ne considérait pas cela comme un combat, cela s'approchait juste d'une exécution ou la victime avait réussi à l'érafler dans un élan de désespoir. Il ne retenu que les remerciements et se leva doucement de sa chaise pour se diriger une nouvelle fois vers la demoiselle, ayant comprit un peu mieux sa tristesse, du moins, cherchant à la réconforter d'une certaine manière, même si Foly était quelqu'un d'assez brusque, loin d'être doué dans ce genre de domaine. Il prit alors place, assis sur le rebord du lit, joignant ses mains, chaque coude sur chaques genoux, jambes écartés, le front sur les pouces.

Foly - "A quoi ressemble ce Paradis que tu nommes Soul Society?"

Pendant que je réfléchissais, il vint s'installer sur le rebord du lit, la tête baissée sur ses deux pouces. Et me demanda...

"A quoi ressemble ce Paradis que tu nommes Soul Society?"

Je regardais Foly, et commença à lui expliquer l'topo.

"Hé bien, c'est un peu compliqué.
La Soul Society est un peu comme un monde a par de celui des humain constitué de plusieurs endroits.Les âmes "plus" sont envoyés au Rukongai et les hollow détruit, ou bien envoyés en enfer. Mais ça ne fait pas de la Soul Society
un paradis.
Dans ce monde de "plus", on ne mange et ne boit pas, par contre, c'est un lieu quand même assez violent nommé Rukongai. Le Seireitei est le centre de la Soul Society.
C'est le quartier général des diverses divisions de l'armée royale mais aussi
un lieu de Shinigami.il est composé de 80 quartiers en apparence
de cercle.La Soul Society est dirigée par la Chambre des 46, 46 étant
le nombre de membres qu'il la dirige.
Le Centrale dirige 3
armées:
les Nécromanciens
les Forces Spéciales
le Gotei 13"

J'espérais qu'il aurait compris, c'était quand même assez compliqué comme situation.
Surtout que je ne lui avait pas tout dis.
Je le regarda et lui demanda ...

"Et toi, tu as un "endroit" comme ça aussi?"

Invité

Il l'écoutait bien attentivement, sans qu'un seul sentiment ne vienne taper le fond de son cœur. A vrai dire, il avait toujours cru qu'il n'allait jamais mourir, alors il ne s'était jamais posé la question s'il y avait un Paradis ou non, mais il était rassuré de savoir qu'il n'y en avait pas, il n'y avait pas de tristesse dans son cœur ou même de déception, il se sentait en paix, écoutant les battements du cœur dans sa poitrine, fermant les yeux doucement pour essayer de visualiser la chose. Alors comme ça, il y avait des dirigeants là-bas aussi? Cela ne semblait pas un endroit agréable, cela semblait d'une armée où certains privilégiés pouvaient se réfugier dans le "centre" de la Soul Society. La simple idée de cette organisation dégoutait le Maitre du Rakan Niôken qui ravala sa salive, sentant comme des larmes monter à ses yeux, son cœur était fermé alors pourquoi? Pourquoi il avait envie de pleurer? Il ouvrait les yeux, comme pour se rendre compte qu'il était dans la réalité et non dans un rêve mais cela eut l'effet inverse, il revoyait une série de personne qu'il avait connu, il revoyait les plus beaux combats de son existence ainsi que les tristesses que la vie pouvaient lui apporter, toutes les personnes qu'il connaissait et qui devait se trouver à la Soul Society. A cette idée, il remarqua que sa vue se troublait, il serrait les dents et essuya doucement ses yeux. C'était quoi ça? Il n'était plus ce gamin autre fois, il n'avait plus le droit d'être faible.

Il fut sorti de sa transe par la demoiselle qui lui posa une question qui le toucha au plus profond de son être. Il se redressait légèrement, faisant craquer sa nuque et fermant à nouveau ses yeux, se calmant et attendant que son cœur recommence à battre normalement. Il parvenait peu à peu à récupérer son image froide et il tourna légèrement la tête pour voire la demoiselle, les yeux de nouveau sec. Un léger sourire montait cependant sur son visage, un sourire amusé, tendre mais loin d'être enfantin.

Foly - "Il s'agit du plus bel endroit. Il se situe dans l'Oural, c'est un endroit où il n'y a pas de gens qui peuvent se prétendre égal à vous. Ceux qui s'abaissent y sont relevés, ceux qui se vantent sont remis les pieds sur terre. C'est l'endroit où se trouve ceux de ma race..."

Il sentait son cœur se remplir de fierté et en même temps de tristesse. Oui, ils lui manquaient, tout comme la Soul Society devait manqué à Matsumoto. Il dévia à nouveau la tête, prononçant quelque mot en Russe, se pinçant la lèvre inférieur, rougissant légèrement en repensant à cette endroit. Il rougissait en repensant à tous les moments qu'il avait vécu là-bas, ça remontait encore dans ses yeux qu'il fermait à nouveau, remettant son front contre ses pouces et récitant des sortes d'incantation ou encore des prières, respirant doucement et correctement, comme s'il était en train de s'étouffer mais cela passa rapidement. Un maitre de la maitrise, avec ses failles bien sûr, rien n'étant éternel.

Foly n'avait pas l'air très bien quand je lui parla de la Soul Society.
Il ... Il pleure? Je le regardais, à mon avis, son monde lui manquait beaucoup aussi.
mais après, il les essuya du genre, nan pleure pas.

Il me dit aussi...

"Il s'agit du plus bel endroit. Il se situe dans l'Oural, c'est
un endroit où il n'y a pas de gens qui peuvent se prétendre égal à
vous. Ceux qui s'abaissent y sont relevés, ceux qui se vantent sont
remis les pieds sur terre. C'est l'endroit où se trouve ceux de ma
race..."

Ça devait être un beau lieu, un endroit assez dur tout de même. J'étais en train d'imaginer le lieu que Foly m'avait un peu décrit.
Il avait l'air bizarre, il respirait bizarrement aussi, comme s'il se concentrait sur quelque chose, ensuite il remis sa tête sur ses pouces.
Je ne disais rien, toujours à regarder le plafond.

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